Vendredi (16/09/05)
aurais-tu fais mieux??
Demande toi si tu aurais couru après avoir lu ceci
Imagine que ça t'arrive....
Un dimanche matin pendant le culte, une assemblée de 2'000 membres était très étonnée de voir deux hommes vêtus de noir de la tête aux pieds entrer dans l'église avec des armes automatiques.
"Que celui qui est prêt à se prendre une balle pour Christ reste à sa place."
Immediatement, la chorale a pris la fuite...
Les diacres ont pris la fuite...
finalement, il n'en reste plus qu'une vingtaine.
L'homme qui avait parlé retira sa capuche...
Et les deux hommes se retournèrent et sortirent.
Ecrit par codejc, à 11:34 dans la rubrique "Gags & Jeux".
A quoi bon le christianisme dans le monde?
Un phenomene étrange que celui de nos jours! La plus part des chretiens refusent l'engagement socio-politique dans la cité, sous pretexte que c'est un milieu sale et qui ne peut que corrompre le Chretien! Alors le debats se pose: faut-il vivre sur la terre comme si on n'y étais pas?? prêcher puis s'en retourner vers le Père??
Jesus disait que nous ne sommes pas du monde mais nous sommes dans le monde... et pendant que nous y sommes, nous sommes le sel de la terre, sa lumière!!! il nous appartient de donner la mesure, la saveurs au monde sinon, l'abomination n'attendra pas l'enlevement pour s'installer au milieu de nous!
La Bible nous cite des exemples de personnages bbliques ayant influencé le monde pervers: Daniel et ses trois amis à Babylone (fef de la sorcelerie et autre abomination, le cousin de Sodome et Gomorhe), Joseph, devenu le n° 2 en Egypte, symbole du paganisme...
Il a souvent été dit qu si l'avortement avait été amendé en Europe, c'est parce que certains deputé Chretien avaient claqué la porte, ne voulant pas tenir ferme jusqu'au bout! ils sont sortis de la salle enlevant du même coup le parfum de justice que leur presence apportait au debat!
Prendre position, dans les lieux les plus obscurs du mal, s'y infiltrer est notre lot et notre partage parce que jamais le Christ n'est venu sur cette terre pour des justes ou pour des biens portant, mais pour des injustices, des maades, des assasins, des prostitués, des adulteres etc....
Alors que ta lumiere brille et eclaire les tenebres. A quoi sert une lampe tempête sous le lumiere électrique? à rien!!! mais dans les tenebres elle prends tout son sens!
Mardi (13/09/05)
Juste des escales
extrait du Recueil "Un Chemin" De Yecheroun
JUSTE DES ESCALES
L’homme s’en va plus loin
Plus loin qu’une rencontre
Plus loin que ce monde
Toi que j’ai rencontré
Toi donc un instant
J’ai apprécié la chaleur
Je dois te quitter
Et toi aussi d’ailleurs
Tu dois me quitter
Plus loin est notre but
Vers l’éternelle demeure
Là où Dieu a son trône.
Un instant, je puis jouir
Jouir de ta présence
Mais je sais tu devras partir
Ne point laisser son cœur
Sur cette terre s’attacher
Je sais je devrais partir
Tout passe, tout est passager
Les amitiés, les amours…
Mais nous les retrouverons un jour
En ce jour, ils seront bien meilleurs
Bien meilleurs qu’ici bas
Ils auront le parfum du ciel.
Je te laisserais partir
Non sans couler des larmes
C’est le propre de l’homme
La douleur façonnera mon âme
Je comprendrais bien des choses
Rien n’est éternel sous le soleil
Je te laisserais partir
Car tu n’es pas à moi
Je ne suis pas à toi
Je ne suis que l’amie
Je me réjouis de la joie de l’époux
Nous sommes tous à l’époux
S’il vient, s’il te requiert
Je te laisserais partir
Mais en lui, je te retrouverai.
Justes des escales,voila le résumé
de toi pour moi, de moi pour toi
juste des esclaes puis s'en aller
Rosemonde
ROSEMONDE
***************
Un baiser m’étais tombé au creux du cou, puis des mains s’étaient délicatement posées sur mes yeux en une pression légère. J’avais beau cherché mais, un seul nom m’étais venu à l’esprit : Rosemonde. Seulement ça ne pouvait être elle.
Rosemonde était ma voisine à trois intervalles près. Nous avions sympathisé dès le début ou mieux, elle était venue à moi. Après deux jours de visites aussi soudaines que vivifiantes, nous étions devenues inséparables.
Six mois après, c’était la même passion dans notre amitié, la même ardeur qui faisait bien des jaloux voire des commérages sur le caractère douteux de nos relations. Mais nous, nous nous savions exemptes de tout péché noir devant Dieu et rien ne pouvait changer entre nous.
- Qui n’aime pas le toucher ? m’avait-elle dit un jour qu’on radotait sur la manière avec laquelle, on se prenait la main, riait ensemble ou s’enserrait la taille.
- Le touché est l’expression la plus parfaite du corps et de l’esprit, avait-elle ajouté.
Et moi, j’en étais convaincue. Au fil du temps, j’en étais arrivée à la comprendre sur un seul regard ou simplement à sa réaction face à ma proximité… Six mois, et j’avais cru que notre amitié était la plus forte, qu’elle résisterait contre vents et marées. Mais je n’en n’étais plus si sûre les jours qui suivirent.
Elle si frêle, avait pris l’habitude de s’appuyer sur moi, qui étais toujours là, solide pilier sur lequel l’on pouvait s’adosser sans crainte qu’il allait succomber, la tête toujours froide afin de réparer tous les dégâts qu’elle causerait. Elle, elle insufflait dans ce climat un grain de folie, juste assez pour qu’on se croit toujours au paradis Et notre tandem était ainsi fait.
Seulement Rosemonde avait changé et je devinais quelques temps après, ce qui la tracassait : Elle avait eut des ennuis avec le « dragon » comme elle aimait à appeler sa tutrice. Rapidement la situation se dégrada entre elles et bientôt, Rosemonde m’annonça qu’elle devait repartir pour l’ouest retrouver ses parents. J’avais sursauté, ébahie, touchée plus qu’elle par l’estocade :
- Et tes études ? avis-je demandé
Elle avait haussé les épaules avec un léger sourire mais je devinais qu’il lui pesait beaucoup sur les lèvres, ce sourire qu’elle voulait rassurant mais qui ressemblait drôlement à un abattement profond.
Mon amie s’en était allée comme ça un beau matin sans que je puisse faire quelque chose, Et voilà que trois après son départ, là, accoudé sur ma table d’étude, essayant d’analyser ces devoirs de psychologie assez fous, je pensais à elle les yeux clos par des mains qui attendaient que je devinasse leur propriétaire sans les effleurer. A bout, ne sachant qui d’autre, j’avais prononcé le seul nom que me rappelait cette pression si douce
- Rosemonde !
Un rire mielleux avait alors empli l’atmosphère et, ses mains étaient descendues sur mes hanches, tandis qu’elle murmurait extasiée :
-Tu ne m’as donc pas oublié ?
Je m’étais précipité dans ses bras en répondant dans un souffle :
- Oublie t-on jamais sa « sœur » ? Ô Rosemonde, tu es revenue ?
- Oui mais pas pour longtemps.
Je m’étais mordue la lèvre pour me contenir. Rosemonde m’avait entraîné dans sa chambre qui sentait un peu le moisi. Là, elle s’était mise à tout emballer tandis que je l’observais. Elle s’affairait ci et là, bavardant et riant comme si de rien n’était, comme si l’on n’avait jamais été séparé.
L’ambiance m’emporta néanmoins et je mis la main à la pâte. C’était bien elle tout ça, cette manière d’emplir l’air d’elle si pleine de fraîcheur délirante. Elle ne prenait jamais la peine de laisser un peu d’espace aux autres, ni même un peu de liberté, se contentant de vivre.
Brusquement je lui en voulu de cette insouciance qu’elle affichait, de cette gaieté déplacée alors qu’on empaquettais tout et qu’elle me réitéra qu’on ne se verra plus jamais. Mon sourire s’était flétrit ;
- comprend donc qu’il n’ y a plus de raison pour que je vienne encore rôder par ici, voici j’emporte le reste de mes effets.
Et moi, tout au fond de mon cœur j’avais pensé « ne suis-je donc pas assez importante pour que » « tu viennes encore rôder par ici ? » Mais déjà, elle sautais sur un autre sujet, transportant ses effets sur la route pou emprunter un potentiel taxi, indifférente à mon air.
Je devais me rendre à l’évidence, Rosemonde, depuis que je la connaissais était comme un ouragan dans ma vie. Elle avait tout chamboulé et maintenant, s’en allait encore une fois, me laissant le soin de racoler les morceaux de cette amitié que j’avais cru au-dessus de tout, et qu’elle prenait plaisir à briser alors que je venais tout juste de les rapiécer. Le pire c’était que, je ne parvenais jamais à lui résister ;
Quel drôle d’Être devais-je être, à toujours aller en guerre sans arme ni armure, complètement exposée. Et Rosemonde m’avait tiré dessus, brisant cette soif d’amitié qui devait tout transcender. Elle brisait cette espérance à coup d’au revoir et maintenant d’adieu !!!
Je m’étais enfuie vers ma chambre sur un au revoir maladroit, ne sachant prendre congé des autres comme elle, elle le faisait avec tant d’enthousiasme. C’était presque effrayant de sa part et une question me vint : « Que lui était-il donc arrivée pour qu’elle changea ainsi en trois mois ? » Je m’étais attardé sur mon lit, repensant à mon amie, à la vie qui lui avait ravie tout espoir, l’obligeant à abandonner ses études et ce qu’elle pouvait considérer comme étant sa vie.
Elle n’avait rien voulu me dire et pourtant je le sentais trop bien, au-delà de ses rires, elle était malheureuse. Plus rien à espérer. Pourtant, courageusement, elle allait au devant de son destin sûre d’une seule chose : il fallait vivre et assumer. Peut-être avait-elle autant de peine que moi mais, le masquait assez pour conserver le peu de force qui lui restait.
Subitement j’eu honte de moi. Rosemonde avait plus besoin de moi que jamais et je ne l’avais pas compris de sitôt, occupée à vouloir satisfaire ma petite personne, à vouloir protéger mon cœur ; oubliant qu’il y a des Êtres qui sont faits pour tout donner d’eux même comme le Christ- jésus et d’autres, nés uniquement pour « recevoir », tout prendre, tout « voler » sans aucun partage.
Ce n’était pas de la faiblesse pour les uns ni de l’égoïsme pour les autres mais simplement la vie. Point de philosophie ne devait s’y mêler, de peur de tout embrouiller. Il fallait donc accorder à la jeune femme, la chance de survivre en moi. Lui assurer que mon amitié, insatisfaite, ne se transformera jamais en un sentiment aussi terne et vulgaire que la haine mais, qu’elle deviendra plutôt comme cette rose qui, s’ouvre chaque matin, attendant patiemment l’arrivée du papillon glouton et volage, sachant le laisser repartir quand il en aura besoin sans jamais chercher à lui couper ses ailes, à lui ravir sa liberté. Et s’il ne venait butiner un jour, ne jamais larmoyer mais s’atteler à parfaire le nectar afin qu’il le trouve frais et savoureux.
J’ai donc pensé aller dire cela à Rosemonde avant qu’elle ne s’en aille que je serais toujours son port d’attache où, elle pourra se ressourcer après une longue course. J’étais sortie et m’étais précipitée pour le lui dire mais, le papillon s’était déjà envolé !!!
Ecrit par codejc, à 15:12 dans la rubrique "POESIE" - Mise à jour : Mardi 13 Septembre 2005, 16:03.
Lundi (12/09/05)
Se faire un enfant
Quelque chose m'a étonné aujourd'hui !!! le fait qu'une femme ait desiré avoir un enfant et s'est juste trouvé un mec de passage qui lui a refilé les spermato sans le savoir et elle est enceinte!!!!
Samedi (10/09/05)
un fossé géant !!!
Riches ≠ pauvres, fossé toujours plus grandissant !! A croire que ça ne finira jamais !!! On parle de dons des Pays développés envers les pays en voie de développement (nom hypocrite évidement parce que la plus part de ses pays sont plutôt en voies d’enterrement !) ! L’Europe, l’Amérique et maintenant l’Asie sucent de toute part ! Les chaînes au cou des pays africains sont telles qu’ils faudraient des siècles pour les en délivrer ! Pire les pays développés n’ont pas l’intention de lâcher prise !! Sinon, de quoi vivraient-ils encore ?? Eux qui se nourrissent de la chair de l’Afrique !!! Le fossé se creuse, on lance des appellent et des hypocrites s’essayent au G12 pour ricaner !!!!! Ca finira !!!
Mardi (06/09/05)
Pourquoi faire manger des morts aux animaux???
L'origine de la maladie de la vache folle !
Deux chercheurs britanniques, dont Alan Colchester, un professeur en neurosciences de l'Université du Kent, viennent d'apporter une nouvelle pierre à l'édifice.
Selon eux, la maladie de La Vache folle ou encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) pourrait avoir été transmise par des aliments contaminés par des restes humains eux-mêmes touchés par la maladie de Creutzfeldt-Jakob, l'équivalent de l'ESB chez les humains.
La Grande-Bretagne a importé plusieurs centaines de milliers de tonnes d'os destinés à servir d'engrais ou de nourriture animale dans les années 1960 et 1970. Près de la moitié de ces ossements provenait du Bangladesh, de l'Inde et du Pakistan, affirment les deux scientifiques. "En Inde et au Pakistan, recueillir les os et carcasses dans la terre et les rivières est un commerce important pour les paysans", écrivent-ils.
Des chercheurs indiens en neurologie de l'Institut national de santé mentale et de neurosciences de Bangalore (Inde) ont reconnu que cette hypothèse méritait d'être examinée mais ont appelé à la prudence.
Pourtant, si les cadavres retrouvés dans le Gange avaient la maladie, le nord de l'Inde serait confronté à une importante épidémie de vache folle!! ce qui n'est pas le cas!.
Les folies de la Jeunesse
Les coupables de l'incendie au Val-de-Marne
Quatre jeunes filles ont avoué avoir allumé l'incendie dans un immeuble de L'Hay-les-Roses (Val-de-Marne) dans la nuit de samedi à dimanche, apprend-on au parquet de Créteil.
"Les quatre suspectes, trois mineures de plus de 15 ans et une jeune majeure, ont admis lors de leur garde à vue à la brigade criminelle avoir allumé le feu dans la boîte aux lettres d'une ex-amie avec laquelle elles ne s'entendaient plus",
La jeune locataire dont la boîte aux lettres était visée n'a pas été retrouvée par la brigade criminelle mais il a été établi qu'elle n'est pas morte dans l'incendie.
16 personnes, dont 3 enfants âgés de quatre à sept ans, sont mortes intoxiquées par la fumée dans cet immeuble HLM de 18 étages.
Par ailleurs, 22 blessés ont été hospitalisés et les médecins réservaient le pronostic vital pour cinq d'entre eux lundi soir, a dit le parquet.
Quelle inconscience criminelle !!!!!!!!
MOULINEX
pression & repression
Avez vous deja eut l'impression que vous êtes dans un moulinex et que d'un instant à l'autre vous serez broyer sans sursis?? C'est l'impression d'un voyageur solitaire sur la route, pas d'abri alentours ni tout près ni au loin , et à chaqu'instant, le ciel s'obscurcit, annoncant le deluge et qu'il n'ya d'autres solution que de marcher.....
Drôle de vie que celle d'un pélérin, etranger sur la terre et qui doit avancer malgré tout, malgré les vents qui soufflent malgé, la tempête qui sevit...
Ce matin, les idées se bousculaient, et la pression aussi: "il faut", "c'est important", c'est capital, voir vital", et tout ca pour on ne sait trop quoi!!! la peur de ne pas être à la hauteur après toute cette liste de devoirs et obligations vous tient à la gorge!! faut-il autant de sueur pour être ou pour devenir quelqu'un dans ce monde?? Bizarre !!!
Le pélerins poursuit sa route, s'attendant à bien des aventures encore, car c'est cela le chemin de tous les jours, des aventures où des fois, l'on peut prendre des coups, se rejouir puis s'en aller vers celui là qui un jour, s'en alla de l'autre coté via la croix: tout était accomplit !